CrĂ©ezgratuitement votre compte sur Deezer pour Ă©couter NapolĂ©on est mort Ă  Sainte-HĂ©lĂšne par Titia&Gg, et accĂ©dez Ă  plus de 90 millions de titres. Unequestion, un conseil, nous sommes Ă  votre Ă©coute : 02 51 94 60 00 02 51 94 60 00 Nous contacter Le blog emonnaies; emonnaies. Recherche: OK. Mon panier . 0 article. tardsous-officier de gendarmerie et n'est mort, retirĂ© Ă  Nogent- sur-Marne, qu'au commencement de 1834, ĂągĂ© de plus de quatre-vingts ans. A propos de l'autre, on conte que, peu de temps aprĂšs l'Ă©lĂ©vation de Bonaparte Ă  l'empire, un homme ĂągĂ©, de mine fort modeste, arriva un jour Ă  Saint-Cloud et sollicita du grand-marĂ©chal Duroc la faveur jepense que NapolĂ©on a gouvernĂ© l’Empire romain je ne mens pas en le disant. De mĂȘme, je mens en disant qu’il est mort Ă  Saint- HĂ©lĂšne, si je pense le contraire * l’intention de tromper est donc le formel du mensonge, c’est en cela qu’il est mauvais et transitif ; * d’oĂč il suit que les plaisanteries, les compliments hyperboliques, les politesses exagĂ©rĂ©es ne Formatde tĂ©lĂ©chargement: : Texte Vues 1 Ă  146 sur 146. Nombre de pages: 146 Notice complĂšte: Titre : La DivinitĂ© de JĂ©sus-Christ dĂ©montrĂ©e par l'empereur NapolĂ©on Ier Ă  Sainte-HĂ©lĂšne, suivi de : le Verbe incarnĂ©, discours sur N.-S. JĂ©sus-Christ, par le RĂ©v. P. J. Etcheverry Auteur : Antoine de Beauterne, Robert Augustin (1803-1846).Auteur du texte QJAaCM. LE LIVRE NapolĂ©on et Dieu est seulement le troisiĂšme livre paru sur ce thĂšme ; les deux prĂ©cĂ©dents de Beauterne et Lombroso Ă©tant parus en 1840 et 1920. Que se passe-t-il quand l’homme le plus puissant du monde depuis vingt siĂšcles, rencontre le Tout-Puissant ? NapolĂ©on est issu d’une famille profondĂ©ment catholique et s’éloigna de Dieu aprĂšs s’ĂȘtre disputĂ© avec son confesseur de l’Ecole militaire, qui lui reprochait de prĂ©fĂ©rer la Corse Ă  son nouveau souverain Louis XVI. Dans cet essai historique, prĂ©facĂ© par le Pr Jean lulard, Philippe Bnrnet nous explique que NapolĂ©on Ă©tait civilement bigame et que ses deux mariages religieux Ă©taient invalides Ayant connu Ă  Saint-HĂ©lĂšne les mĂȘmes humiliations qu’il avait imposĂ©es au pape Pie VII, il s’entretenait frĂ©quemment de questions religieuses avec ses compagnons d’infortune nature de l’ñme, immortalitĂ©, vie aprĂšs la mort
 et reprit une sĂ©rie de lectures religieuses et thĂ©ologiques avant de demander la consolation d’un aumĂŽnier. NapolĂ©on Ă©tait superstitieux et fort ignorant en matiĂšre religieuse il n’a jamais compris la diffĂ©rence entre annulation du mariage et divorce. Il concĂ©dait au Pape le pouvoir spirituel mais rĂ©clamait le pouvoir temporel absolu et, pour lui, la nomination des Ă©vĂȘques en faisait partie. Il força les cardinaux absents Ă  son mariage avec Marie-Louise, Ă  quitter leur tenue rouge et les exila, voire les emprisonna. ExcommuniĂ© en 1810, il tenta par tous les moyens d’obtenir du pape un deuxiĂšme concordat en 1813. Le cardinal Fesh, son oncle lui avait fait parvenir une tabatiĂšre en forme de cercueil dans le fond de laquelle Ă©tait Ă©crit Pense Ă  ta fin, elle est proche ». Le samedi de PĂąques, il se convertit. 2021
 Bicentenaire de la mort de l’Empereur. Pour achever ce cycle de commĂ©moration commencĂ© en 1969, la Fondation NapolĂ©on a fĂ©dĂ©rĂ© les institutions engagĂ©es dans ce bicentenaire au sein du label 2021 AimĂ©e NapolĂ©on ». Une AnnĂ©e NapolĂ©on inoubliable
 partout l’ AnnĂ©e NapolĂ©on se dĂ©clinera dans toute la France, grĂące aux institutions musĂ©ales, d’archives et de recherches, aux Villes ImpĂ©riales, Ă  des dĂ©lĂ©gations du Souvenir napolĂ©onien et Ă  des institutions rĂ©gionales ou locales comme l’Institut catholique de VendĂ©e, mais aussi Ă  l’étranger, grĂące Ă  la Commune de Waterloo ou les Domaines nationaux de Sainte-HĂ©lĂšne. NapolĂ©on Ă©tait-il chrĂ©tien ? Est un sujet qui peut difficilement ĂȘtre traitĂ© par un universitaire. Ce sujet paraĂźt tranchĂ© et moi-mĂȘme, ayant lu le gĂ©nĂ©ral Bertrand, j’ai longtemps cru que NapolĂ©on Ă©tait mort thĂ©iste, muni des derniers sacrements pour complaire Ă  l’opinion catholique, pour sacrifier Ă  une religion nĂ©cessaire Ă  la sociĂ©tĂ© et sans laquelle reprendrait inĂ©vitablement cette guerre de chacun contre tous, dĂ©crite par Thomas Hobbes. Il Ă©tait temps de reprendre le dossier avec un Ɠil neuf, et je m’efforce de poser ici sur la foi de l’Empereur un regard global, replaçant les pensĂ©es et les actes dans leur contexte, accordant plus de prix aux actions qu’aux Ă©crits et aux Ă©crits qu’aux paroles, sans oublier qu’on n’est pas le mĂȘme enfant, adolescent, adulte agonisant. NapolĂ©on en personne connut le doute et les prĂ©jugĂ©s de son temps sans jamais renier son baptĂȘme catholique. » L’AUTEUR Philippe Bornet, clinicien, ancien journaliste est l’auteur de guides pratiques, romans historiques et essais. Dimensions 13,5 x 20,5 cm Date de parution mars 2021 NapolĂ©on est une mini-sĂ©rie historique en coproduction Canada-France en quatre Ă©pisodes de 100 minutes, rĂ©alisĂ©e par Yves Simoneau et diffusĂ©e en France Ă  partir du 7 octobre 2002 sur France 2, au QuĂ©bec du 2 au 23 fĂ©vrier 2003 Ă  Super Écran puis rediffusĂ©e Ă  la TĂ©lĂ©vision de Radio-Canada. Synopsis Cette sĂ©rie retrace l'histoire du GĂ©nĂ©ral Bonaparte, devenu consul Ă  la suite du coup d'Ă©tat du 18 Brumaire, puis Empereur en 1804 Ă  la demande du SĂ©nat. BasĂ©e sur le roman de Max Gallo dont elle respecte la division en quatre parties, elle prĂ©sente un NapolĂ©on plus humain et parfois mĂȘme manipulĂ© par son entourage contrairement aux idĂ©es reçues. Le Chant du dĂ©part 1795 - 1800 Le Soleil d’Austerlitz 1800 - 1807 L’Empereur des rois 1807 - 1812 L’Immortel de Sainte-HĂ©lĂšne 1812 - 1821 DĂ©roulement Lors du premier Ă©pisode de la sĂ©rie, on voit le gĂ©nĂ©ral Bonaparte Ă©pouser JosĂ©phine de Beauharnais et se lancer dans la campagne d'Italie avec la fougue de la jeunesse, n'hĂ©sitant pas Ă  risquer sa vie dans les combats. Il remarque que JosĂ©phine le trompe avec un autre militaire, mais finit par lui pardonner, abandonnant son projet de divorce. Il se lance par la suite dans la campagne d'Égypte en 1798 et rentre en France en 1799. Son frĂšre Joseph lui propose de faire un Coup d'État et choisit comme partenaires Roger Ducos et Emmanuel-Joseph SieyĂšs pour renverser le Directoire. Le coup d'État manque de peu d'Ă©chouer mais Bonaparte devient Premier Consul. RĂ©organisant profondĂ©ment la sociĂ©tĂ©, il Ă©tablit le Concordat en 1801 et devient consul Ă  vie en 1802. La mini-sĂ©rie reproduit le sacre le 2 dĂ©cembre 1804 et explique la victoire d'Austerlitz un an aprĂšs jour pour jour. On voit ensuite NapolĂ©on lors de la bataille d'IĂ©na. Il rencontre la jeune Marie Waleska, remporte la bataille d'Eylau et Ă©crase les Russes Ă  la bataille de Friedland. Il conclut la paix de Tilsit avec le tsar Alexandre mais piĂ©tine en Espagne. En 1808 il organise une autre rencontre avec celui-ci Ă  Erfurt, oĂč il comprend qu'il n'obtiendra pas le soutien du tsar pendant qu'il est en Espagne. En 1809, il divorce de JosĂ©phine qui est stĂ©rile et ne peut lui donner une descendance directe pour asseoir sa dynastie. Cette mĂȘme annĂ©e l'Empire d'Autriche lui dĂ©clare la guerre et c'est la victoire de Wagram, bien que le marĂ©chal Lannes soit mort Ă  Essling. En 1810, il Ă©pouse Marie-Louise d'Autriche et le 20 mars 1811, aprĂšs un accouchement difficile, la nouvelle impĂ©ratrice donne naissance Ă  un fils le Roi de Rome, que l'on croyait mort-nĂ©. En 1812 il se lance avec 600 000 hommes dans la campagne de Russie, entre Ă  Moscou mais doit se replier, n'obtenant pas la paix souhaitĂ©e. La retraite s'engage par des tempĂ©ratures nĂ©gatives et l'armĂ©e est presque intĂ©gralement dĂ©truite. En 1813 les principales puissances europĂ©ennes se liguent contre l'Aigle affaibli, Ă  savoir l'Empire d'Autriche, l'Empire russe, le Royaume de Prusse, le Royaume-Uni et la SuĂšde. Il est vaincu et doit se battre sur le territoire national lors de la campagne de France en 1814. L'Empire s'effondre, il abdique et obtient la souverainetĂ© de l'ile d'Elbe. Échappant Ă  la surveillance des Anglais, il tente un dernier Ă©clat lors des Cent-Jours mais est dĂ©finitivement vaincu Ă  Waterloo le 18 juin 1815 et doit de nouveau abdiquer en faveur de son fils NapolĂ©on II. NapolĂ©on Ier finit sa vie sur l'ile de Sainte-HĂ©lĂšne, en tissant sa lĂ©gende. Fiche technique Sauf indication contraire ou complĂ©mentaire, les informations mentionnĂ©es dans cette section peuvent ĂȘtre confirmĂ©es par la base de donnĂ©es IMDb. Titre original NapolĂ©on RĂ©alisation Yves Simoneau ScĂ©nario Didier Decoin, d'aprĂšs la biographie de NapolĂ©on par Max Gallo. DĂ©cors Richard Cunin Costumes Pierre-Jean Larroque Musique Richard GrĂ©goire Photographie Guy Dufaux Montage Yves Langlois, Isabelle Malenfant SociĂ©tĂ©s de production A+E Networks, ASP Productions, GMT Productions, Kekchi Films Productions, KirchMedia, MA Films, Okko Productions, Spice Factory, Transfilm, Zweites Deutsches Fernsehen ZDF Pays de production France - Italie - Allemagne - Canada - États-Unis - Royaume-Uni - Hongrie - Espagne - TchĂ©quie Langue de tournage français Tournage mai 2001 Ă  octobre 2001 en Hongrie, TchĂ©quie, Canada, France, Maroc, Autriche, Saint-HĂ©lĂšne. Format Couleur - 1,781 - Son stĂ©rĂ©o - 35 mm Genre Film historique DurĂ©e 357 minutes 5h57 Ă  la tĂ©lĂ©vision ; 380 minutes 6h20 en DVD Date de diffusion sur France 2 PremiĂšre partie 7 octobre 2002 DeuxiĂšme partie 14 octobre 2002 TroisiĂšme partie 21 octobre 2002 QuatriĂšme partie 28 octobre 2002 Distribution Christian Clavier NapolĂ©on Bonaparte Isabella Rossellini JosĂ©phine de Beauharnais John Malkovich VF Edgar Givry Charles-Maurice de Talleyrand-PĂ©rigord GĂ©rard Depardieu Joseph FouchĂ© Anouk AimĂ©e Letitia Bonaparte Philippe Volter Paul Barras Heino Ferch VF Patrick Poivey Armand Augustin Louis de Caulaincourt Sebastian Koch MarĂ©chal Jean Lannes Ennio Fantastichini Joseph Bonaparte Guillaume Depardieu Muiron Mavie Hörbiger Marie Louise d'Autriche Alexandra Maria Lara Comtesse Marie Walewska Toby Stephens Tsar Alexandre Ier de Russie Marie BĂ€umer Caroline Bonaparte Claudio Amendola MarĂ©chal Joachim Murat John Wood Pape Pie VII Yves Jacques Lucien Bonaparte Julian Sands Klemens von Metternich Natacha Amal Madame Bertrand Jacky Nercessian Roustam Raza Serge Dupire Pierre Cambronne Ludivine Sagnier Hortense de Beauharnais Alain Doutey MarĂ©chal Michel Ney Tamsin Egerton Miss Betzy David Francis Hudson Lowe AndrĂ© Chaumeau Louis XVIII AndrĂ© Oumansky SieyĂšs Jacques Brunet Roger-Ducos Jean-Gabriel Nordmann Roederer Sylvain Corthay Docteur Corvisart Florence Darel Mme RĂ©camier Alain TeuliĂ© Hippolyte Charles Michel Ouimet Docteur Ivan Philip Lenkowsky Jean Baptiste Cipriani Christopher Heyerdahl Geoffroy St-Hilaire Deborah Rudetzki Julie GrĂ©goire Bonnet Louis Laurence Margerie Élisa Constance DollĂ© Pauline Dimitri Michelsen EugĂšne LĂĄszlĂł Görög Marbot Doug Rand Percier Mike Dineen Fortin David La Haye Duc d'Enghien Vincent Grass Charles IV d'Espagne Alain Flick Ferdinand des Asturies Accueil Audiences Les deux premiers Ă©pisodes obtiennent un trĂšs bon score lors de leur premiĂšre diffusion française avec respectivement 37,6 % le lundi 7 octobre 2002 et 31,5 % le lendemain[1]. Titre Date de diffusion Audience France PDM NapolĂ©on Le Chant du dĂ©part 1/4 7 octobre 2002 9 063 000 tĂ©lĂ©spectateurs 37,6 % Le Soleil d’Austerlitz 2/4 8 octobre 2002 7 632 000 tĂ©lĂ©spectateurs 31,5 % L’Empereur des rois 3/4 14 octobre 2002 7 208 000 tĂ©lĂ©spectateurs 29 % L’Immortel de Sainte-HĂ©lĂšne 4/4 21 octobre 2002 6 731 000 tĂ©lĂ©spectateurs 27,4 % PolĂ©mique L'homme politique italien Umberto Bossi, fondateur de la Ligue du Nord, a dĂ©noncĂ© le tĂ©lĂ©film comme Ă©tant de la pure propagande de style jacobin » qui vise Ă  transformer en hĂ©ros celui qui est responsable de la mort de pas moins de 200 000 Italiens ». Selon lui, NapolĂ©on n'est qu'un dictateur qui, en Italie, a effacĂ© les principes dĂ©mocratiques et anĂ©anti les peuples du Nord ». Bossi a Ă©galement critiquĂ© le fait que le tĂ©lĂ©film soit financĂ© et diffusĂ© par la chaĂźne italienne Rai Uno. L'acteur GĂ©rard Depardieu lui a rĂ©pondu que Ce n'est pas Bossi qui dĂ©cide si NapolĂ©on a Ă©tĂ© ou pas un monstre. ». Isabella Rossellini a aussi pris la parole pour dĂ©fendre la fidĂ©litĂ© historique du tĂ©lĂ©film. Les polĂ©miques autour de NapolĂ©on ont ainsi alimentĂ© les revendications pour la production de tĂ©lĂ©films consacrĂ©s Ă  des Ă©pisodes mĂ©connus de l'histoire italienne[2]. Anecdotes Le rĂŽle du prince Murat est jouĂ© par Claudio Amendola. Dans le NapolĂ©on de Sacha Guitry, le rĂŽle de Caroline Murat, sƓur de l'empereur et Ă©pouse du prince Murat, Ă©tait tenu par Anna Amendola. Le tĂ©lĂ©film fut rĂ©alisĂ© en plusieurs versions, en français avec les acteurs francophones et anglais avec les acteurs anglophones. Les voix du tĂ©lĂ©film final sont post-synchronisĂ©es. Notes et rĂ©fĂ©rences ↑ SUPERPJ - AUDIENCES TV DEPUIS 1990 - AUDIENCES TELE », sur 5 fĂ©vrier 2005 consultĂ© le 3 mai 2020 ↑ Salvatore Aloise, PolĂ©mique en Italie », sur 5 octobre 2002 Voir aussi Article connexe NapolĂ©on Ier au cinĂ©ma Liens externes Ressources relatives Ă  l'audiovisuel de OFDb en Rotten Tomatoes CatĂ©gories SĂ©rie tĂ©lĂ©visĂ©e créée en 2002SĂ©rie tĂ©lĂ©visĂ©e française des annĂ©es 2000SĂ©rie tĂ©lĂ©visĂ©e quĂ©bĂ©coise des annĂ©es 2000SĂ©rie tĂ©lĂ©visĂ©e de France TĂ©lĂ©visionsSĂ©rie tĂ©lĂ©visĂ©e historiqueMini-sĂ©rie françaiseMini-sĂ©rie quĂ©bĂ©coiseSĂ©rie tĂ©lĂ©visĂ©e biographiqueSĂ©rie tĂ©lĂ©visĂ©e se dĂ©roulant au XVIIIe siĂšcleSĂ©rie tĂ©lĂ©visĂ©e se dĂ©roulant au XIXe siĂšcleSĂ©rie tĂ©lĂ©visĂ©e tournĂ©e Ă  ParisDomaine militaire dans la cultureNapolĂ©on Bonaparte dans la fictionGuerres napolĂ©oniennes dans la fictionDerniĂšre mise Ă  jour du contenu le 16/05/2022. Table des matiĂšres1 Quel Ăąge avait NapolĂ©on Ă  sa mort?2 OĂč se trouve l’üle de St. HĂ©lĂšne?3 Quelle bataille est mort NapolĂ©on?4 Pourquoi NapolĂ©on n’a pas Ă©tĂ© tuĂ©?5 OĂč se trouve l’üle de Sainte-HĂ©lĂšne oĂč est mort NapolĂ©on?6 Quelle est la mort de NapolĂ©on Ier?7 Qui n’attendent pas la mort de NapolĂ©on?8 Quelle est la mort de NapolĂ©on on Sainte-HĂ©lĂšne? Quel Ăąge avait NapolĂ©on Ă  sa mort? 51 ans 1769–1821 NapolĂ©on Ier/Âge au moment du dĂ©cĂšs OĂč se trouve l’üle de St. HĂ©lĂšne? Afrique Sainte-HĂ©lĂšne/Continent OĂč a Ă©tĂ© enterrĂ© NapolĂ©on? HĂŽtel des Invalides, Paris NapolĂ©on Ier/Lieu d’inhumation Quelle bataille est mort NapolĂ©on? bataille de Waterloo Il y a 200 ans, la bataille de Waterloo mettait fin au rĂšgne de NapolĂ©on et Ă  20 ans de guerre en Europe. Des acteurs rĂ©pĂštent pour la reconstitution de la bataille de Waterloo rejouĂ©e pour marquer son bicentenaire. La bataille de Waterloo, disputĂ©e le 18 juin 1815, est l’une des plus importantes de l’histoire moderne. Pourquoi NapolĂ©on n’a pas Ă©tĂ© tuĂ©? Les cours europĂ©ennes avaient d’ailleurs Ă©tĂ© profondĂ©ment choquĂ©es qu’on puisse dĂ©capiter le roi de France et sa femme. Aussi, il aurait Ă©tĂ© dĂ©gradant de se rabaisser aux actions des RĂ©volutionnaires. L’exil et surtout l’emprisonnement reste dans l’Histoire le sort le plus classique rĂ©servĂ© aux monarques. Comment NapolĂ©on Bonaparte a pris le pouvoir? Texte > 1799, le coup d’État du 18 Brumaire le gĂ©nĂ©ral NapolĂ©on Bonaparte prend le pouvoir. 9 et 10 novembre 1799 dix ans aprĂšs le dĂ©but de la RĂ©volution française, qui a remplacĂ© la monarchie par la rĂ©publique, le gĂ©nĂ©ral Bonaparte prend le pouvoir lors du coup d’État du 18 Brumaire. OĂč se trouve l’üle de Sainte-HĂ©lĂšne oĂč est mort NapolĂ©on? L’üle de Sainte-HĂ©lĂšne est une Ăźle britannique situĂ©e dans l’Atlantique Sud, Ă  1 856 km Ă  l’ouest des cĂŽtes de la Namibie. C’est ici que NapolĂ©on est mort en 1821. Avec quelques Ăźles voisines, elle constitue un territoire britannique d’outre-mer appelĂ© Sainte-HĂ©lĂšne, Ascension et Tristan da Cunha. Quelle est la mort de NapolĂ©on Ier? La mort de NapolĂ©on Ier survient le 5 mai 1821 Ă  Longwood sur l’üle de Sainte-HĂ©lĂšne, durant son exil, Ă  l’ñge de 51 ans. Quelle est la date de la mort de NapolĂ©on Bonaparte? C’est une certitude, NapolĂ©on Bonaparte prend le temps de rĂ©diger son testament le 15 avril 1821, avant de sombrer dans une agonie qui l’emporte le 5 mai 1821. La mort de NapolĂ©on I er Ă  Sainte-HĂ©lĂšne n’est pas sans lien avec la persistance de ses douleurs stomacales depuis 1805. Qui n’attendent pas la mort de NapolĂ©on? Certains exilĂ©s volontaires n’attendent pas la mort de NapolĂ©on pour rentrer en France. Ainsi du comte de Las Cases, pressĂ© de publier les confidences de l’empereur, qui trouve habilement moyen de se faire expulser dĂšs le 30 novembre 1816. Le gĂ©nĂ©ral Gourgaud se fait expulser Ă  son tour aprĂšs une dispute avec Montholon. Quelle est la mort de NapolĂ©on on Sainte-HĂ©lĂšne? Mort de Napol on Ier Sainte-H l ne. Le 5 mai 1821, NapolĂ©on Ier s’éteint dans sa maison de Longwood, Ă  Sainte-HĂ©lĂšne, un Ăźlot oĂč l’ont exilĂ© les Anglais en 1815 aprĂšs la dĂ©faite de Waterloo et son abdication. Il n’a pas 52 ans. Navigation de l’article ï»żLes comptines sont des poĂšmes enfantins, parlĂ©s ou chantĂ©s avec une mĂ©lodie dynamique pour amuser et Ă©duquer les enfants. Elles favorisent la mĂ©morisation, l’imaginaire et le vocabulaire. Voici les paroles d’une nouvelle chanson pour votre enfant ! ProposĂ© par la Team Mapiwee 65 Les paroles de la comptine “NapolĂ©on” NapolĂ©on est mort Ă  Sainte HĂ©lĂšne, Son fils LĂ©on lui a crevĂ© l’bidon. On l’a r’trouvĂ©, assis sur une baleine, En train d’bouffer les fils de son caleçon bis NapolĂ©on 1er est mort Ă  l’ñge de 51 ans, le 5 mai 1821 Ă  Longwood, Saint-HĂ©lĂšne Royaume-Unis. DĂ©couvrez d'autres articles et activitĂ©s Les 10 meilleures comptines et berceuses de notre enfance Comment inventer des histoires pour votre enfant ? Chanson pour enfants Ah ! vous dirai-je maman Chanson pour enfants Fais dodo Colas mon p’tit frĂšre PubliĂ© le mardi 4 mai 2021 Ă  11h47 Pendant des dĂ©cennies, bien des historiens spĂ©cialistes de NapolĂ©on ont travaillĂ© depuis des propos rapportĂ©s, que son fidĂšle Las Cases avait vendus comme la parole impĂ©riale. ProblĂšme deux tiers se sont rĂ©vĂ©lĂ©s ĂȘtre des ajouts aprĂšs la dĂ©couverte fort tardive du vrai "MĂ©morial de Sainte-HĂ©lĂšne". Ça tient d’un premier tour de piste Ă  "Questions pour un champion" et ça donnerait quelque chose comme “Qui a proclamĂ© “Quel roman que ma vie” ?” RĂ©ponse NapolĂ©on deux points maximum, la phrase est un peu cĂ©lĂšbre. Attention, ça se corse “D'oĂč ça vient ?” Ca vaut plus cher l’histoire est davantage mĂ©connue. La citation est extraite d’un livre qui s’appelle Le MĂ©morial de Sainte-HĂ©lĂšne. En fait de livre
 huit tomes, qui sont signĂ©s du comte Emmanuel de Las Cases, et parurent en 1823, c’est-Ă -dire deux ans aprĂšs la mort de NapolĂ©on, dont le bicentenaire de la mort tombe cette semaine, le 5 mai. Las Cases, qui avait Ă©tĂ© conseiller d’Etat et chambellan de l’Empereur, avait suivi NapolĂ©on dans son exil Ă  Sainte-HĂ©lĂšne, aprĂšs la reddition impĂ©riale face aux Anglais le 15 juillet 1815. FidĂšle parmi les fidĂšles. NapolĂ©on restera sur ce caillou perdu dans l’Atlantique jusqu’en 1821. Pas Las Cases, qui l’a suivi accompagnĂ©s de son fils, mais qui doit quitter l’üle dĂšs 1816. Pendant son expulsion, Las Cases se fait confisquer un manuscrit dĂ©jĂ  mis au propre. Le fruit de ses Ă©changes avec NapolĂ©on, prĂ©sentĂ© sous forme de confidences, dissĂ©minĂ©es au jour le jour Ă  la façon d’un journal intime. Un objet qui se donne Ă  lire comme une chambre d’écho de la parole impĂ©riale brute. Rien ne manque, au fond la quatriĂšme de couverture, les notes de bas de page
 et quelques annotations par NapolĂ©on. De quoi dĂ©duire que, trĂšs tĂŽt, et avant mĂȘme d’embarquer pour une traversĂ©e de deux mois et demi jusqu’à Sainte-HĂ©lĂšne, l’empereur et son fidĂšle avaient convenu qu’un projet Ă©ditorial pourrait voir le jour. A vrai dire, Las Cases n’est pas le seul Ă  entreprendre de recueillir les confidences impĂ©riales. MĂ©decin personnel de NapolĂ©on ou gĂ©nĂ©raux du premier cercle, d’autres hommes de ses proches sont de l’exil eux aussi, et consignent ce qu’ils prĂ©sentent comme ses mots. A telle enseigne que les amateurs Ă©rudits de NapolĂ©on parlent encore parfois des “quatre Ă©vangĂ©listes”. Pour autant, le texte que Las Cases fait paraĂźtre en 1823 se distingue rapidement. Notamment par son succĂšs colossal, mais aussi par son histoire Ă  rebondissements, qui vient raconter quelque chose de l’usage politique de NapolĂ©on, qui parfois rĂ©sonne aujourd’hui encore. Ainsi, on comprend que les racines du fameux dĂ©bat de savoir si NapolĂ©on serait plutĂŽt de droite ou de gauche plongent Ă  l'Ă©poque des contemporains de l'empereur. C'est ce texte que vous retrouverez en ligne sur Gallica, par exemple un exemplaire de 1842 du premier tome. Quand il paraĂźt en France, NapolĂ©on est mort depuis deux ans, mais Las Cases a mis du temps Ă  rĂ©cupĂ©rer le recueil que les autoritĂ©s britanniques lui avaient confisquĂ© Ă  son dĂ©part de Sainte-HĂ©lĂšne il devra attendre la mort de l’Empereur pour cela. NapolĂ©on mort au mois de mai, c'est Ă  l'automne 1821 que Las Cases rĂ©cupĂšre son dĂ», pour s'atteler au travail depuis Passy, Ă  Paris, oĂč il a fini par revenir en France, aprĂšs avoir patientĂ© pour obtenir le feu vert du roi de France. Las Cases vivra de cette publication, qu’il Ă©dite Ă  compte d’auteur, dont il se charge personnellement de la distribution
 et qui s’écoule comme des petits pains. Aujourd’hui, on peut entendre dire encore que Le MĂ©morial de Sainte-HĂ©lĂšne fut le deuxiĂšme livre le plus vendu de tout le XIXe siĂšcle aprĂšs la Bible. C’est faux a priori, les Fables de La Fontaine le devancent largement. Mais dans les annĂ©es 1820 et 30, son succĂšs est colossal, au point qu’une indication d’un fils de Las Cases indiquerait que 44 000 exemplaires ont dĂ©jĂ  Ă©tĂ© Ă©coulĂ©s, au milieu des annĂ©es 1840. Ceci en fait bien une des meilleures ventes et un phĂ©nomĂšne record... mais pas sur tout le siĂšcle. Ce succĂšs n’est pas exempt d’un certain sens du marketing, qui n’échappe pas aux contemporains de Las Cases lui va vanter la parole in extenso de son grand homme comme un joyau dont il serait le dĂ©positaire, lĂ  oĂč, dans la presse, on s’interroge dĂ©jĂ , Ă  chaud, sur l’authenticitĂ© de certains guillemets. Mais l’objet a du succĂšs, et Las Cases surfe cette vague lucrative et propre Ă  nourrir le culte de celui au service duquel il avait choisi de rester. En guise de balles neuves, le voilĂ  qui finit par publier huit volumes au total, lestĂ©s de nombreuses descriptions. En fait, des ajouts qui ne figuraient pas dans le manuscrit d’origine, celui qu’il faisait retranscrire au propre Ă  son fils, chaque soir, et qu’il s’était fait confisquer. BlasphĂšme et pot aux rosesUn peu Ă©trangement, il a fallu attendre prĂšs de deux siĂšcles pour que la chose soit mise au jour une copie du manuscrit confisquĂ© puis restituĂ© Ă  Las Cases avait Ă©tĂ© conservĂ©e outre-Manche. Et dormait tranquillement dans le chĂąteau familial des descendants de celui qui avait Ă©tĂ© ministre de la Guerre du temps de la dĂ©faite de NapolĂ©on. Tardivement, ce sont ses hĂ©ritiers qui se sont dĂ©cidĂ©s dans les annĂ©es 1970 Ă  dĂ©poser aux archives les papiers de leur aĂŻeul... dont cette copie du MĂ©morial de Las Cases d’origine, qui replongera aussitĂŽt dans le sommeil, quelque part dans les rĂ©serves de la British Library. Un sommeil de plusieurs annĂ©es, jusqu’à ce qu’un historien, Peter Hicks, s’en aperçoive. Branle-bas de combat dans le monde des spĂ©cialistes de NapolĂ©on on allait savoir si Las Cases avait brodĂ©. Et mĂȘme, si la chose ne tenait pas pour de bon du ventriloquisme. Tant pis pour le suspense la rĂ©ponse est oui. La chose est si flagrante qu’au lieu des huit volumes finalement parus en France, le manuscrit enseveli en comptait seulement quatre. L’historien Thierry Lentz, qui dirige l'Institut NapolĂ©on, et fit partie des quatre historiens partis en Angleterre Ă©plucher les quatre volumes pour pister les diffĂ©rences, estime que Las Cases aurait si bien dĂ©layĂ© que deux tiers du manuscrit tel qu’il sera publiĂ© en 1823 n’étaient pas d’origine. SacrilĂšge ? Lorsque ces quatre historiens, Thierry Lentz, Peter Hicks, François Houdecek et Chantal PrĂ©vot, feront paraĂźtre le manuscrit tel qu’ils le dĂ©nichent en Grande-Bretagne, rehaussĂ© de leur travail scientifique chez Perrin, ils recevront une petite flopĂ©e de messages qui crient au scandale, aprĂšs que Le Figaro a eu dĂ©cidĂ© d’en faire deux pages. Thierry Lentz le racontera dans un entretien vidĂ©o accessible sur le site HĂ©rodote certains les accuseront d’une lecture outrageusement iconoclaste. Car ce qui est passionnant, derriĂšre l’histoire Ă  tiroirs de ce _MĂ©morial _du nom d’un genre qui fait flores en ce dĂ©but de XIXe siĂšcle, c’est que les confidences prĂȘtĂ©es Ă  NapolĂ©on, telles que Las Cases les gravera dans le marbre, ont un sort politique. Et une durĂ©e de vie tout Ă  fait considĂ©rable. En effet, ces propos attribuĂ©s Ă  l’empereur feront par exemple office de brĂ©viaire pour Louis-Bonaparte, dans sa conquĂȘte du pouvoir. On dit mĂȘme que NapolĂ©on III le connaissait par cƓur pour l’avoir Ă©pluchĂ© par le menu, et aspirĂ© comme la sainte-parole. En l’intervalle de trois dĂ©cennies, Le MĂ©morial de Sainte-HĂ©lĂšne Ă©tait devenu la Bible du camp bonapartiste, c’est-Ă -dire Ă  la fois son vade-mecum, un signe de ralliement, une grammaire partagĂ©e, et une marque de lĂ©gitimitĂ©. NapolĂ©on, fils de la RĂ©volutionMais l’usage politique du MĂ©morial est aussi affaire d’image, et de mise en rĂ©cit. Or dans ce que publie Las Cases comme d’ailleurs dans le manuscrit d’origine que Thierry Lentz et ses collĂšgues raconteront avoir auscultĂ©, c’est non seulement une version trĂšs flatteuse du legs de NapolĂ©on qui s’imprime noir sur blanc. Mais, surtout, une image trĂšs libĂ©rale de la sĂ©quence impĂ©riale, qu’on dĂ©couvre au fil des nombreux volumes qui font l’effet de ce qu’on appellerait aujourd’hui un vaste disclaimer, Ă  mi-chemin entre le dĂ©menti et le manifeste a posteriori. Une sorte de tĂ©moignage pro domo en somme, qui a vocation Ă  irradier pour ciseler la postĂ©ritĂ©. L’égalitĂ© et la libertĂ© chevillĂ©es au pouvoir, NapolĂ©on y apparaĂźt ouvertement libĂ©ral, progressiste ce qu’on y lit relĂšve dĂ©jĂ  de la version, qui lui survivra, de NapolĂ©on, fils de la RĂ©volution. C'est un contre-rĂ©cit qui se prĂ©sente en contraste avec la Restauration. Parce qu’on y lit par exemple que l’Empire portait en son sein la paix, et que NapolĂ©on n’a voulu aucune des guerres qui l’ont bien occupĂ©, on voit aussi que le MĂ©morial trame au fond une narration a posteriori, un rĂ©cit façonnĂ©, et sans doute commode. Etonnamment, c'est plus souvent Ă  ce MĂ©morial qu'on se rĂ©fĂšre qu'aux MĂ©moires, que NapolĂ©on a pourtant publiĂ©es en parallĂšle, et dictĂ©es de son vivant. Justement parce que la lĂ©gende y est gĂ©nĂ©reusement servie, et au fond un brin flatteuse ? Ou plutĂŽt parce que la dimension dialoguĂ©e, et l'idĂ©e qu'il se soit trouvĂ© un grand tĂ©moin pour jouer les passeurs rĂ©hausse l'objet d'une portĂ©e documentaire ? Il est certain que le camp bonapartiste mobilisera cette lecture de ce que fut l’Empire, en quĂȘte de rĂ©habilitation aprĂšs les accusations d’autoritarisme, le fiasco des Cent jours antisĂšche, on est sympa de mars Ă  juillet 1815, ou la dĂ©faite de Waterloo encore un post-it c'Ă©tait le 18 juin 1815. Mais ce qui frappe peut-ĂȘtre encore davantage aujourd’hui, c’est que l’historiographie elle-mĂȘme s’est laissĂ©e irriguĂ©e par cette prĂ©sentation d’une vision mise dans la bouche de NapolĂ©on. Ca tient au statut du MĂ©morial bien que publiĂ© comme une offensive Ă©ditoriale par l'un de ses plus fidĂšles, le livre a finalement rapidement Ă©tĂ© considĂ©rĂ© par les historiens comme ce qu’on appelle, dans le jargon du champ acadĂ©mique, “une source primaire”. C’est-Ă -dire un document de premiĂšre main. Or il l’est assurĂ©ment, et d’une maniĂšre considĂ©rable
 mais plutĂŽt pour comprendre ce qu'Emmanuel Las Cases a bien pu vouloir restituer de la parole napolĂ©onienne. Pas comme un verbatim sans filtre ni intermĂ©diaire habile. Compte tenu de la dimension spectaculaire des ajouts et du dĂ©calage entre le manuscrit d’origine retrouvĂ© en Grande-Bretagne et celui qui fut longtemps prĂ©sentĂ© comme la parole vĂ©nĂ©rable, la nuance est de taille on est loin du missel. Or ce que les quatre historiens qui ont passĂ© au peigne fin les quatre volumes outre Manche ont pu souligner, en 2017, c’est que parmi les ajouts et autres circonvolutions de Las Cases qui tend Ă  tirer Ă  la ligne, les passages politiques sont prĂ©cisĂ©ment particuliĂšrement nombreux. C’est donc en partie Ă  partir une lĂ©gende cousue main que les historiens de la fin du XIXe et du dĂ©but du XXe siĂšcle ont souvent travaillĂ©. Pour autant, Las Cases n’a certes pas inventĂ© le NapolĂ©on libĂ©ral dĂšs la premiĂšre version, contemporaine de l’exil Ă  Saint-HĂ©lĂšne, on voit que NapolĂ©on a en quelque sorte validĂ© le fait de relater ses annĂ©es au pouvoir dans cette gamme-lĂ . Il a ainsi co-construit cette histoire libĂ©rale de lui-mĂȘme. Dans cette mesure au moins, et aussi pour cette histoire Ă  rebondissements, Le MĂ©morial de Sainte-HĂ©lĂšne reste ainsi une trace historique intĂ©ressante, qui documente comme rarement les annĂ©es d’exil, et les rapports entre l’empereur dĂ©fait et le Royaume d’Angleterre. Vous trouvez cet article intĂ©ressant ? Faites-le savoir et partagez-le.

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